J’ai structuré mon cabinet pour me donner la liberté de limiter le nombre de dossiers en cours, favoriser son accessibilité au plus grand nombre, contribuer à des actions d’intérêt général.
Je ne poursuis aucun objectif de croissance économique et je privilégie le lien client.
Mon premier objectif est de demeurer au plus proche de mes clients et pleinement disponible pour les accompagner.
Cette proximité me donne l’opportunité d’être à la fois l’avocat du quartier en toute confidentialité, et celui de groupes internationaux.
La structuration originale de mon cabinet me permet aussi de m’engager gracieusement sur certains dossiers qui présentent un intérêt social, collectif ou civilisationnel.
Il s’agit enfin de veiller à limiter l’impact environnemental du fonctionnement de mon cabinet.
J’ai donc réduit depuis longtemps la plupart des charges de fonctionnement de mon cabinet pour gagner en souplesse et en accessibilité, et je m’appuie sur une dématérialisation très poussée de ma production.
En revanche, je ne lésine pas sur les dépenses de documentation juridique pour offrir à mes clients une analyse juridique pointue, fournie et à jour de l’état du droit présent ou prévisible.
